Дорогой доброй и чуткой Светланочке от тети Наташи в день рождения. Желаю тебе в жизни быть счастливой, так как я этого счастья хочу своим мальчикам. От автора. 25.04.53 года. Тбилиси.
D’autres acteurs étaient à ce moment idolâtrés par le public : V. Maximov, Gaidarov, Nathalie Lissenko, Olga Ozovskaia et surtout Véra Kholodnaia. Celle-ci, femme d’un officier pauvre mobolisé, débuta, par nécessité de gagner sa vie, dans un petit rôle de la version d’Anna Karénine, dirigée, en 1914, par Gardine. E. Bauer en fit vers 1915-1916 une grande actrice qui finit par toucher 25 000 roubles (12 500 dollars) par film, tant le public l’idolâtrait.
Chuvash-Kino, the film organisation of the Chuvash Autonomous Republic is extremely characteristic of the successful development of the national film industries. “Sar-Pigi” showing the pre-revolutionary past, and “Yal,” describing the revolution in the Chuvash village, were produced entirely by the native artistic forces of the Chuvash republic. Tani Yun, the most prominent Chuvash film actress, is extremely popular outside Chuvash as well. The Tenth Anniversary of the Revolution was celebrated by the ChuvashKino by a film called “Chuvashia,” produced by Korolevitch, summarizing the economic and cultural achievements of the Chuvash Republic. (« The Film Industry in the National Republics », in Soviet Union Review, 1929 June Issue, 105p.)
マリアさんは若くして亡くなり、出演作が少なく(計8作)メディアの露出が少なかったこともあって伝記データや逸話がほとんど残っておりません。数少ない例外としてベク=ナザリアンが戦後に発表した『ある俳優兼監督の回想録』(«Հուշեր դերասանի և կինոռեժիսորի»、1968年)に『ザレ』撮影時のエピソードが紹介されています。
Ее положили в гроб в том самом платье, в котором она два года назад играла княгиню Лидию Ланину в фильме «У камина» – в одном из самых популярных своих фильмов.
Вера Холодная. Королева немого кино
— Елена Прокофьева, 2013.
Je ne trouve pas les mots pour vous remercier de votre admirable article, —c’est en pleurant que je le lu. Mille, mille fois merci, et croyez-moi que vos bonnes paroles dite sur moi, m’avait tellement touché, je ne les oublierai jamais.
Un jour je ferai ma visite au Paris-Soir, pour vous dire tout ça personnellement. Mon mari et moi vous prions, Cher Monsieur, de croir en notre grande reconnaissance et en nos sentiments les plus profonds.
Sandra Milowanoff
P. S. Excusez mon ecriture et mes fautes, mais je suis tres emu.
Anna Pavlowa, qui l’engage dans sa troupe. Après deux années passées aux’ côtés de la grande artiste dans les tournées triomphales que cette dernière entreprend dans les capitales de l’Europe, Sandra passe dans la fameuse troupe des Ballets Russes de Serge de Diaghilev, qui remportent le succès que l’on sait successivement à Londres (Drury-Lane), Paris (Opéra), Monte-Carlo (Grand Casino), Berlin (Kroll-Theater), etc..
[…] En 1918, la Révolution oblige Sandra Milowanoff à fuir. C’est ensuite le séjour sur la Côte d’Azur — et enfin des débuts à l’écran, comme nous les avons retracés plus haut. Sandra Milowanoff offre un exemple particulièrement net de carrière sans cesse ascendante et de popularité rapide. Grâce à son séjour dans la troupe de Feuillade, bian connue pour son activité, elle a pu en peu de mois acquérir les qualités si particulières de l’artiste de cinéma.
Je suis née, me déclare-elle, le 9 novembre 1899, à Yalta, en Crimée. Mon père était colonel dans l’armée du Tzar. J’adorais le théâtre à un tel point que vers les onze ans, je me déguisais soit avec les vêtements de mon père, soit avec ceux de ma mère, j’apprenais quelques petites pièces de théâtre en cachette de mes parents pour les jouer ensuite avec quelques amis de mon âge.
Or, près de notre ville, à Massandra exactement, se trouvait un immense parc qui appartenait au Tzar et, de temps en temps, lorsque sa famille y villégiaturait, on donnait quelques concerts, quelques numéros de danses et la soirée se terminait par un drame.
Ces soirées artistiques se passaient dans des haos, c’est-à-dire des espèces de grottes que l’on entretenait soigneusement tout en leur laissant leur caractère pittoresque. Un jour, j’y jouai pour mon unique plaisir dans Le Démon, opéra en trois actes d’après le remarquabre roman de Lermontf, un de nos meilleurs poètes russes et dont la musique est de notre cher Rubinstein et le livret de Wiskowatoff. Je remportai un assez grand succès et je partis à Moscow jouer -toujours en amateur- les grandes pièces du répertoire russe.
En 1916, le cinéma commençait à m’intéresser vivement et je débutai à la Bio-Film. Un de mes premiers rôles dans cette nouvelle carrière fut Yvette, dans un film tiré de la célèbre nouvelle de Guy de Maupassant. Les intérieurs avaient été tournés aux studios de Moscow et les extérieurs à Yalta, mon pay natal.
Ensuite, je tournai pour la Société Koslowsky, puis je devenais une des vedettes des Films Ermolieff de Moscow et je devins bientôt populaire en Russie.
Puis… oh! non, c’est trop douloureux… ajoute mme Kovanko, les larmes aux yeux, puis, étant dans l’obligation de fuir la Russie à cause des Bolcheviki (pensez donc, en une heure et demie, je dus quitter mon cher pays) et partis à Athènes où je séjournai quelque temps. Là, on m’offrit un engagement pour tourner en Italie, mais je refusai pour revenir avec M. Joseph Ermolieff qui tournait en France depuis quelques mois aux anciens studios Pathé de Montreuil-sous-Bois.
« Deux artistes russes à Paris : Mme Kovanko & M. Tourjansky »
Cinémagazine No 47, 9 Décembre 1921
Am 1. Dezember 1910 wurde dem Ballettmeister an der Kaiserlich Russischen Oper in Kiew eine Tochter geboren: Anjuschka Stenski — heute Anna Sten, einer der bedeutendsten Tonfilmstars Europas. Wenn der Vater Ballettmeister und die Mutter Primaballerina an der Moskauer Oper ist. gibt es für das Kind nur einen Beruf: Ballettänzerin. Mit vier Jahren wurde die kleine Anjuschka Elevin; der russische Staat hatte die Sorge für ihre Ausbildung übernommen. Der Vater ging an die Front, die Mutter mit. Im Jahre 1917 war der Krieg zu Ende, aber das russische Kaiserreich und damit die kaiserliche Ballettschule auch. Wo Anjuschka war, wußte kein Mensch. Man fand die Neunjährige im Moskauer „Technikum », einer Art Kunstschule; sie hatte das Tanzen aufgegeben und sich dem Sprechtheater zugewandt. Der Vater holte sie zurück und fügte sie einer Tanz- und Akrobatengruppe ein. mit der er durch Rußland zog. Mit elf Jahren war Anjuschka der Star dieses wandernden Zirkus.
Erst nach dem Tode ihres Vaters konnte sie zur Bühne gehen; sie hatte das Glück, von Inkischinew, dem großen russischen Schauspieler, entdeckt zu werden. S. M. Eisenstein bildete sie für den russischen Tonfilm aus. Heute spielt sie nur Deutsch, ist auf dem Höhepunkt ihrer Laufbahn, hat in „Bomben auf Monte Carlo » einen Riesenerfolg gehabt und spielte zuletzt in dem Ufa-Großtonfilm „Stürme der Leidenschaft » die weibliche Hauptrolle.